Puis on décide de donner le commandement à un porteur qui semble bien
mieux connaître le coin. En route pour la randonnée tant attendue. Le
trajet est désormais beaucoup plus agréable.
Une gazelle est passée par ici
Finalement, nous n’aurons pas le temps de monter tout en haut. Nous
trouvons rapidement un endroit parfait pour planter la tente. Le temps
est lourd, et le ciel chargé de gros nuages gris n’annonce rien de bon.
Ca ne rate pas : la tente est montée qu’il commence à tomber des cordes.
Depuis le campement : vue sur les plaines du Mungo
Nous aidons ensuite Martial et les porteurs à construire un abri de
fortune, avec des feuilles de bananiers : C’était plutôt marrant, vive
les machettes. Pour le goûter, nous avons eu droit à de la canne à
sucre. Il y a des choses plus pratique à manger : on mord dedans, puis
on aspire le sucre en évitant de croquer les fibres.
Vive les feuilles de bananiers !
Vers 18h, il s’est arrêté de pleuvoir, l’heure idéale pour essayer de
faire du feu. A cette altitude il fait bon, les criquets chantent, et la
soirée autour du feu de camp, était très agréable.
Oh le joli criquet !
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