Aujourd’hui, j’avais rendez-vous avec Baptiste, Amélie et Nathalie pour
retrouver Martial. Martial, c’est un pote camerounais que connaissaient
Claire et les versaillais. Il a été cuistot au « grand bassam » où on
mange trop bien. Et là il se reconvertit dans le tourisme en écrivant un
genre d’encyclopédie en 4 volumes sur ce qu’il y a à voir au Cameroun.
Il n’en est qu’au premier volume sur l’Ouest, mais ça devrait bien
marcher vu qu’à part le petit futé, il n’existe aucun bouquin de ce
type. Bref. Martial devait nous conduire à un cours de danse pour qu’on
apprenne le « coupé décalé ». Le coupé décalé, c’est ce que tu danses
sur de la musique camerounaise. Je ne vais pas vous cacher que c’est
super saoulant quand tu écoutes ce genre de musique 4h d’affilée, mais à
petite dose, c’est sympa. Donc on arrive dans le quartier de
Madagascar, là où Martial a grandi. C’est vraiment « le quartier » : on
doit passer par de la piste de dingue pour y arriver, on suit ensuite un
petit sentier gadoueux en pente et on arrive finalement à la salle de
danse. C’est très rustique. Mais impressionnant de voir les membres de
l’association répéter leur spectacle. Il est convenu qu’on ait cours le
samedi en fin de matinée.
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